vendredi 2 février 2018

Oui à no Billag

Oui à No Billag. Le monde ne s'écroulera pas, la SSR se reformera et nous aurons enfin le service public que nous méritons et que nous appelons de nos vœux. La vraie démocratie c'est cela, être capable de dire stop, ça suffit. Les citoyens réclament de la part d'un média public de surcroît la vraie information, pas de tripatouillage, pas de propagande, pas de formatage, pas de culpabilisation. Autre fois média relais, producteur d'idée la SSR avec notre argent s'est transformé en machine moralisatrice pratiquant allègrement la manipulation émotionnelle au quotidien. On nous parle d'offre neutre, de diversité (on la cherche toujours, alors que le Tessin est et reste enclavé, les romanches doivent faire la manche pour qu'on leur concède un espace), d'autres adjectifs sont détournés de leurs sens, impartialité, équité des opinions. Le fameux et célèbre CHF 1.-/jour n'est qu'une fake news car sans garantie sur sa pérennité, sans remise en cause de la SSR, sans auto critique. Les entreprises et donc le consommateur final (vous) paieront la baisse qui vous est soit disant octroyée. La démocratie ne se décrète pas, le pluralisme non plus donc stop à l'arnaque que l'on présente comme un progrès et le 04 mars 2018 un grand OUI à no Billag.


vendredi 5 janvier 2018

Identité Suisse en question

Nous avons les élus que L'on mérite. En cette nouvelle année on ne perd pas les bonnes vieilles habitudes. La Suisse et sa population sont encore ciblées, stigmatisées. Attaque contre l'identité, la citoyenneté par un discours moralisateur et suicidaire. Tout n'est pas égal à tout, le bien équivaut pas au mal, être Suisse n'est pas être Italien et c'est très bien comme cela. Se présenter à chaque prise de position comme CN Suisse (avec comme préoccupation essentiel les non Suisse sous couvert d'ouverture sur le monde ), comme femme (donc pas d'accord égal sexiste, machiste), comme fille immigrée (donc sa vision est prophétique sinon on devient raciste, xénophobe). Le débat est utile lorsque l'on exclut la victimisation, la propagande et la manipulation. L'on peut être en désaccord sans utiliser des subterfuges mais tels n'est pas là volonté. Il faut détruire tout ce qui a fait, qui fait ce pays et s'attaquer a son mode de vie de l'intérieur ( au CN, CE, CF, Cantons, ..etc). Vive la Suisse, elle existe et vaincra.



La conseillère nationale socialiste Ada Marra questionne dans un essai ce que veut dire être Suisse et tacle les «fondamentalistes».

24HEURES.CH